« La Seine n’est pas faite pour nager » : une nouvelle polémique fait rage alors que le champion olympique interpelle les autorités au milieu des horreurs météorologiques

La natation exige la perfection, la qualité de l’eau étant cruciale pour la santé et la carrière des athlètes. Les mauvaises conditions d’eau présentent des risques majeurs. À seulement cinq mois des Jeux olympiques, des inquiétudes ont éclaté non seulement concernant les conditions de l’eau de la Seine, mais également concernant la hausse des températures dans la capitale française.

En raison de l’augmentation du réchauffement climatique, des vagues de chaleur se sont propagées à travers le pays, augmentant les températures de 20 degrés Fahrenheit au-dessus de la normale. Ces vagues de chaleur inquiètent les autorités car elles pourraient mettre en péril le bien-être des sportifs. Face à des problèmes météorologiques et de qualité de l’eau, la nageuse brésilienne Ana Marcela Cunha a appelé les autorités olympiques à s’attaquer à la qualité de l’eau de la Seine pour les Jeux olympiques de cette année. Elle a affirmé que la qualité de l’eau n’était pas adaptée à la baignade, exhortant les autorités à concevoir un « Plan B » dès que possible.

L’inquiétude du nageur pour la Seine

La Seine est accusée de la mauvaise qualité de ses eaux dans de nombreux incidents. La plus récente a eu lieu en août, lorsque les épreuves tests de natation ont été annulées en raison de la mauvaise qualité de l’eau. La nageuse brésilienne Ana Marcela Cunha a maintenant exigé des changements lorsque les autorités lui ont répondu : « Il n’y a pas de plan B ». Lors d’un entretien, le nageur a déclaré à l’AFP : « C’est un souci ». L’athlète a fait le premier pas pour soulever des questions et exhorter les autorités à apporter des changements à la qualité de l’eau lors des épreuves de natation. De tels problèmes peuvent menacer la carrière des athlètes et leur bien-être tout entier reste menacé.

« Il n’y a pas eu d’épreuve test l’année dernière à cause de cela mais (les organisateurs) insistent pour que les épreuves se déroulent là-bas. Il nous faut un plan B au cas où il ne serait pas possible de se baigner dans la Seine », a ajouté la nageuse en plus de son inquiétude face aux problèmes de qualité de l’eau dans la piscine de Paris.

Elle a même déclaré : « La Seine n’est pas faite pour nager. » « Il ne s’agit pas d’effacer l’histoire de la Seine », poursuit l’athlète. Alors que la cérémonie d’ouverture approche dans moins de 5 mois, les problèmes de qualité de la rivière se présentent comme un revers majeur. Avec la prise de conscience des nageurs, les autorités restent sous pression pour prendre des mesures le plus rapidement possible.

Les autorités s’inquiètent de la Seine

En réponse à la baisse de la qualité de l’eau de la Seine, le gouvernement a dépensé une somme massive de 1,4 milliard d’euros (1,5 milliard de dollars) pour moderniser le système d’égouts et le traitement des eaux à Paris. Ces systèmes d’eau sont connectés à la Seine, on s’attendait donc à régler le problème lié à cette décision.

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Avant qu’Ana Marcela Cunha n’exprime son inquiétude quant au fait que Sienne accueille la compétition de natation, de nombreux autres athlètes ont également exprimé leur point de vue. La nageuse marathonienne australienne Chelsea Gubecka a également exprimé son mécontentement quant à la qualité de l’eau. Cependant, les analyses menées par le gouvernement n’ont pas répondu aux normes établies et l’action n’a fait aucune différence.

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